yémen carte guerre

Al Houthi militia targets the city of Marib with ballistic missiles, Undersecretary of the Yemeni Ministry of Human Rights, Nabil Abdel Hafeez: There are no real reactions by the UN envoy and international organizations to stop the Houthi militia attack and targeting residential neighborhoods in Yemen, The Yemeni National Army, supported by the resistance and coalition warplanes, thwarted Hassan Erlo's plan to storm Marib, Griffiths: The consultations dealt with a ceasefire, stopping the attack on Marib, lifting restrictions on the ports of Hodeidah, and opening Sanaa airport, Houthi military spokesman: We carried out an operation by drone aircraft on King Khalid Air Base in Khamis Mushait, Saudi Arabia, Saudi media: The coalition intercepts and destroys an explosive drone launched by the Houthis towards Khamis Mushait, in the south of the Kingdom, Yemeni gov forces retook control of many sites from Iran-backed Houthis in al-Kasarah front northwest Marib today. Aussi appelés Houthistes, du nom du chef de leur clan Hussein Badreddine al-Houthi, ils se plaignent d’avoir été marginalisés par le gouvernement sur le plan politique, économique et religieux, et demandent plus de considérations[52]. En octobre 2017, la création d'un parlement sudiste de 303 membres est annoncée[337]. Le 21 avril 2015, la coalition arabe dirigée par Riyad annonce mardi la fin de l'opération Tempête décisive[128], mais les frappes aériennes reprennent dès le lendemain dans le cadre de l'opération Restaurer l'espoir[129]. Le 6 octobre, les Houthis arrêtent des étudiants qui ont organisé une manifestation à Sanaa[384]. Il a également déclaré que les armes avaient tué des centaines de civils et dénoncé la frénésie des États-Unis de fournir des armes à la suite de la menace iranienne contre le régime du Golfe en 2019[469]. Le jour-même, après la prise du gouvernorat de Lahij par les rebelles, le ministre de la Défense loyaliste, Mahmoud al-Soubeihi est capturé par les Houthis qui, au même moment promettent 93 000 $ pour la capture du président Hadi[122]. Donald Trump oppose en avril 2019 son veto afin de bloquer la résolution du Congrès, adoptée au début du mois, exhortant le président américain à mettre fin au soutien militaire à l'Arabie saoudite et à ses alliés[443]. Le 12 mai 2015, un cessez-le-feu humanitaire est décrété[133]. Le 28 mars 2019, le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, annonce que le gel des ventes d’armes de son pays à l’Arabie saoudite est prolongé de 6 mois, jusqu’au 30 septembre 2019[427]. Ces engins sont interdits par un traité international depuis 2008, approuvé par 116 pays, mais dont Riyad et Washington ne sont pas signataires[131]. Le 30 janvier, les forces fidèles au STC contrôlent la quasi-totalité de la ville[345]. Le 6 avril 2017, Abdel Aziz ben Habtour démissionne après des tensions avec les Houthis[354]. Les guerres cachées du Yémen Pierre Bernin Aperçu. De fait, le Yémen comprend alors quatre gouvernements différents[330]. Yémen : Plus qu’un conflit entre Riyad et Téhéran, une guerre aux racines internes En mars 2019, la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis, entrera dans sa quatrième année de guerre au Yémen. L'Arabie saoudite s'est ainsi mise à la tête de la coalition militaire qui soutient le président réfugié à Riyad. Le conflit au Yémen oppose depuis plusieurs mois les rebelles houthistes aux partisans du président en fuite, Abd Rabo Mansour Hadi. Le 24 février 2017, un kamikaze fait exploser sa voiture piégée contre l'entrée d'un camp militaire à Abyane dans le sud du Yémen, faisant au moins huit morts et trois blessés[304],[305]. D'une manière générale, les Houthis nomment leurs membres à la tête des renseignements et de l'armée et infiltrent également le Congrès général du peuple[356]. Dans le même temps, 18 militaires loyalistes sont tués et une trentaine sont blessés. Le 28 février 2015, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Koweït déplacent leurs ambassades à Aden[108]. Cependant, les deux belligérants n'ont pu se mettre d'accord sur la libération des commandants respectifs[154]. Carte de la guerre civile du Yémen, situation en 2020. Le médiateur de l'ONU appelle au respect de la trêve[210]. Selon plusieurs associations, l'Arabie saoudite a été impliquée dans le conflit au Yémen, où les violations du droit international humanitaire et le risque de transfert d'armes aux groupes terroristes ont augmenté[431]. Selon les médias saoudiens, le fait de frapper durant la période de préparation des funéraille d'al-Sammad a été choisi volontairement afin de diminuer encore plus le moral des rebelles[372]. Le 13 octobre 2014, Khaled Bahah, ambassadeur du Yémen à l'ONU, est nommé Premier ministre[63]. Au même moment, l'Arabie saoudite tente de dissuader les ONG d'accéder aux zones rebelles[185], mais n'y parvient pas[186],[187]. Carte Tracé approximatif des frontières du pays. Le 28 décembre 2015, l'ancien président Ali Abdallah Saleh déclare refuser tout dialogue avec les loyalistes, privilégiant des négociations directes avec l'Arabie saoudite[170]. Selon l'Organisation des Nations unies (ONU) et la coalition qui soutient le gouvernement yéménite, les Houthis sont soutenus par l'Iran[7] et la Corée du Nord[452]. La coalition est fortement suspectée d'en être à l'origine[176]. Le 12 juin, les Émirats arabes unis donnent 48h aux Houthis pour quitter la ville[376]. Le 14 septembre 2016, Hassan al-Malsi, général des Forces spéciale des Houthis, est tué après une tentative d'intrusion à la frontière saoudienne[275]. Le 10 novembre 2014, le Conseil de sécurité de l'ONU sanctionne l'ex-président Ali Abdallah Saleh ainsi que des chefs des Houthis[66]. L'offensive se poursuit cependant dans le gouvernorat d'Abyan : les djihadistes d'AQPA se retirent également du district d'al-Wadea le 13 septembre et se replient sur celui d'al-Mahfad[353].*. À partir de 2015, les Émirats arabes unis commencent à administrer de fait l'île de Socotra, construisant de nouvelles infrastructures, des réseaux de télécommunication, demandant aux habitants de signer des contrats de travail avec eux, font leurs propres recensement des populations locales, puis, en 2018, se déploient militairement sur l'île, ce que condamne le gouvernement yéménite, au nom de sa souveraineté sur l'île[348]. Des frappes aériennes sont menées contre un hôpital de Médecins sans frontières et provoquent la mort de dix-neuf personnes. Le 5 mai, des rebelles Houthis pénètrent pour la première fois en territoire saoudien et attaquent la ville de Najran[132]. 2-28 août 2018 • Yémen • Accusation de « crimes de guerre » portée contre les belligérants.Le 28, une mission d’experts mandatée par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU affirme que tous les belligérants impliqués dans le conflit au Yémen ont commis des « crimes de guerre ». Le 27 septembre, des sources sécuritaires annoncent que les rebelles Houthis attaquent la maison du chef des services de renseignement à Sanaa. Le même jour, cinq loyalistes et huit rebelles sont tués, dans des combats dans la région de Marib[218]. Le 10 juillet, le président yéménite, Abdrabbo Mansour Hadi, annonce son intention de ne plus participer aux pourparlers[232]. Le 17 mars, 26 soldats des forces pro-gouvernement sont tués et 40 autres blessés par des tirs de missiles rebelles contre la mosquée d'un camp militaire à l'est de Sanaa[317]. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. N’hésitez pas à l’améliorer en veillant à citer vos sources.La dernière modification de cette page a été faite le 11 mai 2021 à 05:10. Le 25 juin, la coalition annonce la mort de huit membres du Hezbollah à Sa'dah[379]. Les Émirats arabes unis sont directement intervenus dans la guerre civile yéménite notamment en envoyant des troupes de mercenaires colombiens dès 2015[434]. L'ONU souligne début 2021 que le Yémen a « perdu plus de deux décennies de développement » et pourrait devenir un « État non viable » et « très difficile à reconstruire »[470]. Le gouvernement d'Abdrabbo Mansour Hadi annonce son intention de prendre des mesures légales contre les Émirats arabes unis. En mars 2015, le président Hadi fuit Aden, où il avait trouvé … Le 18 septembre 2016, le siège de la Banque centrale est déplacé à Aden[274]. En août 2016, le gouvernement yéménite décide de demander aux organismes internationaux de geler les avoirs de la banque centrale, et de nommer une nouvelle direction dont le siège serait au sud[261]. À l'exception d'un attentat-suicide qui fait sept morts et neuf blessés parmi les soldats, les djihadistes se replient sans opposer de résistance dans le gouvernorat d'Abyane[352]. D'après Le Monde diplomatique, l'aide de l'Iran aux Houthis était insignifiante au début du conflit mais a progressivement augmenté. En décembre 2017, Ali Abdallah Saleh est assassiné par ses anciens alliés Houthis, après avoir rompu avec eux pour rejoindre le camp loyaliste. De nombreuses organisations humanitaires, ainsi que l’ONU, s’en sont émues[460],[461]. Le 25 février 2016, le Parlement européen, dans une résolution non-contraignante, appelle à un embargo sur les armes pour l'Arabie saoudite[190]. Dans Le Télégramme, le journaliste Jean Guisnel fait état de la vente de patrouilleurs maritimes (Constructions mécaniques de Normandie, CMN) et de nouveaux canons Caesar (Nexter). Les Houthis empêchent l'approvisionnement de l'aide humanitaire de la ville de Ta'izz et engendre la fermeture d'un de ses hôpitaux[166],[167]. Une délégation Houthie doit également se rendre en Iran pour signer des accords économiques et politiques[95]. S’ensuit une guerre civile entre des unités républicaines et des unités nostalgiques du régime théocratique zaydite, qui durera jusqu’en 1970. [CHRONOLOGIE] La guerre au Yémen oppose depuis septembre 2014 les forces pro-gouvernementales, soutenues notamment par l’Arabie saoudite sunnite, à des … Il n'est cependant pas reconnu par l'ONU[281], la France et le Royaume-Uni[282]. Bombardée par la coalition pour la quatrième fois, l'organisation annonce dans les jours qui suivent son retrait des hôpitaux du nord du pays, estimant les risques trop importants[255]. En octobre 2016, des manifestations hostiles au gouvernement yéménite ont lieu dans le sud, notamment à Aden, tandis que les séparatistes annoncent la création d'un conseil politique sudiste pour le 14 octobre, date anniversaire du début de l'insurrection contre le l'occupation britannique en 1964[283]. S’ensuit une guerre civile entre des unités républicaines et des unités nostalgiques du régime théocratique zaydite, qui durera jusqu’en 1970. Le 6 août 2016, les négociations sont officiellement clôturées[247]. Le 2 janvier 2016, le cessez-le-feu prend fin[168]. Les Houthis proposent alors de mettre en place un Conseil présidentiel composé de l'armée, des forces de sécurité, des comités populaires et des « composantes révolutionnaires et politiques »[74]. Le Yémen est ravagé depuis 5 ans par une guerre entre les rebelles chiites houthistes, soutenus par l’Iran, et les forces gouvernementales du président Abd Rabbo Mansour Hadi, appuyées par une coalition emmenée par l’Arabie Saoudite. Aux confins de la péninsule arabique, le Yémen était autrefois appelé l'"Arabie heureuse". Les jeunes Tchadiens partis combattre au Yémen victimes d'une escroquerie? En septembre 2016, le gouverneur de Marib déclare que des armes destinées aux Houthis seraient envoyées par l'Iran en transitant par Oman et la province du Hadramaout, en direction de Sanaa[271]. Le 21 mars 2015, lors d'une allocution télévisée, Hadi déclare que « le drapeau de la République du Yémen flottera sur les montagnes de Maran à Saada, et non pas le drapeau iranien » et que « L'école du [chiisme] duodécimain suivie en Iran ne sera pas acceptée par les Yéménites, qu'ils soient Zaïdites ou Chafiites »[116]. En octobre 2020, un ambassadeur iranien parvient à gagner Sanaa, déjouant le blocus instauré par la coalition. Du côté des Émirats, la Fran… Le même jour, trois civils sont tués par des bombardements rebelles sur un hôpital de Marib[203]. Les dernières nouvelles de la Syrie sur la carte En décembre 2019, le Premier ministre du Soudan Abdallah Hamdok annonce que 15 000 soldats soudanais ont été déployés au Yémen dans le camp pro-saoudien[451]. Le 12 octobre 2016, les forces loyales, dont des miliciens de la Résistance populaire, reprennent le poste-frontière d'Al-Buqah au terme d'un assaut lancé depuis le territoire saoudien[291]. Entre le 31 août et le 2 septembre 2016, les raids aériens de la coalition sur la province de Saada font au moins 25 morts, la majorité étant des femmes et des enfants, du côté des rebelles[264]. Le 25 décembre, les combats se poursuivent à Haïs et Tahtia[364]. Dans l'Antiquité, le Yémen est l'un des plus grands centres de civilisation moyen-orientale allant de l'Arabie pétrée nabatéenne jusqu'à l'île de Socotra, il est connu des Grecs, des Romains et des Égyptiens pour son commerce dans l'océan Indien, pour sa production d'encens et pour son innovation dans les techniques d'irrigation . Le 22 mars 2015, les Houthis prennent le contrôle de l'aéroport de Taëz[118]. Le 18 octobre, des affrontements entre tribus sunnites et rebelles chiites près d'Ibb font de nombreuses victimes. L'intervention saoudienne a eu pour effet d'accroître l'influence iranienne dans le pays[423]. L'ancien président Ali Abdallah Saleh propose une « paix des braves » et des négociations avec les Saoudiens[199]. Le conflit au Yémen oppose depuis plusieurs mois les rebelles houthistes aux partisans du président en fuite, Abd Rabo Mansour Hadi. En mai 2019, les rebelles se retirent du port d’Hodeïda, avec retard mais conformément à l'accord de décembre 2018. La République islamique aiderait par ailleurs les Houthis à fabriquer des missiles sol-sol. Le 5 mars, dans la province d'Abyane, cinq soldats yéménites sont tués dans une attaque à l'arme automatique, par des combattants d'Al-Qaïda, contre un barrage de l'armée, au nord de la ville côtière de Chaqra. Le 22 avril 2016, les négociations de Koweït débutent avec un retard de quatre jours, à cause d'une arrivée tardive de la délégation rebelle[219]. La guerre civile yéménite est un conflit qui oppose depuis 2014 principalement les rebelles chiites houthis et, jusqu'en 2017, les forces fidèles à l'ex-président Ali Abdallah Saleh au gouvernement d'Abdrabbo Mansour Hadi[37],[38],[39],[40], élu en 2012 à la suite de la révolution yéménite et du départ du pouvoir de Saleh. Carte de la guerre civile du Yémen, situation en 2020. Les autorités saoudiennes ont procedé à partir de 2017 à l'expulsion de son territoire de dizaines de milliers de travailleurs yéménites, pour certains installés de longue date dans le pays[51]. Le 31 juillet, le gouvernement yéménite approuve un projet d'accord appelant les rebelles à se retirer des villes qu'ils contrôlent et à rendre les armes aux autorités et les appelle à le signer d'ici le 7 août[244]. Le 15 février 2015, le Conseil de sécurité des Nations unies demande aux Houthis de quitter le pouvoir[85], appel rejeté par les miliciens le lendemain 16 février[86]. Au même moment a lieu une escalade dans les affrontements[233]. Territoire contrôlé par les loyalistes. Le 13 mai, des troupes saoudiennes débarquent à leur tour, à la demande du gouvernement yéménite pour former ses troupes[349], puis les deux forces se retirent au profit de l'armée gouvernementale dès le lendemain 14 mai[350]. Le 19 mars 2015, lors de la bataille de l'aéroport d'Aden, l'aéroport d'Aden est fermé après des affrontements entre les unités du général al-Sakkaf et les comités de résistance populaire, loyaux au président Hadi[113]. Le 17 octobre 2016, le président Abdrabbo Mansour Hadi accepte un cessez-le-feu de 72 heures susceptible d'être prolongé entre les forces gouvernementales et les chiites Houthis[294]. Le 28 avril, les funérailles rassemblent des milliers de partisans houthistes[373], et les rebelles tirent 8 missiles de représailles sur l'Arabie saoudite, tuant 1 civil[373]. Or contester une alliance avec des pays qui ne respectent pas le droit humanitaire international reste très difficile chez nous, en France ». Ils appellent pour l'occasion à une manifestation d'ampleur[284]. Par ailleurs, 21 rebelles périssent et 23 sont blessés[302]. Les loyalistes progressent de nouveau le 8 septembre[383]. Territoire contrôlé par les Houthis. Après des manifestations Houthis, contre la fin des subventions sur le pétrole[55] et la prise d'Amran, l'insurrection houthiste se dirige vers Sanaa. De plus, le Yémen rompt ses relations diplomatiques avec le Qatar[333]. Mehdi Hussein al-Machat lui succède[370]. Carte des combats en Syrie. L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis tentent alors d'apaiser la situation et appellent au dialogue[397]. Les origines de ce conflit sont complexes et lointaines. Le conseiller du président, Ahmed Awad ben Moubarak, doit également être libéré[69]. Le Yémen est plongé dans le chaos depuis près de trois ans. Par ailleurs, des combattants tribaux tendent une embuscade contre un convoi de rebelles, dans la région de Sawmaa, faisant ainsi neuf morts, du côté des rebelles. Le 19 décembre 2020, le Conseil d'État avait ordonné la suspension de l'exécution des décisions prises par le ministre wallon, Elio di Rupo d'émettre les 4 licences pour l'exportation d'armes au royaume[433]. Le 20 février 2015, un accord est trouvé pour conserver la Chambre des députés et de lui adjoindre une nouvelle chambre[88]. Voir aussi . La mosquée est visée par un missile puis par un drone, précise une source militaire gouvernementale[410],[411]. Le 6 mars 2015, les Houthis dispersent une manifestation à Sanaa exigeant leur départ du pouvoir[97]. Le 12 février 2016, Nihm et le siège de la 312e brigade, situés dans le gouvernorat de Sanaa, sont repris par les loyalistes[188]. Pour sa part, la coalition annonce l'ouverture d'une enquête et appelle l'ONG à reconsidérer sa décision[256]. Sa capitale était Sanaa. Le 3 mars 2015, Hadi limoge le chef des forces spéciales et en nomme un autre[109]. Le 22 juin, le programme alimentaire mondial suspend partiellement l'aide humanitaire à Sanaa, après son détournement par les Houthis[392]. De plus, quarante personnes sont tuées dans des combats et bombardements. Le 9 août 2016, les raids aériens sur le gouvernorat de Sanaa reprennent, provoquant la fermeture de l'aéroport de Sanaa[249]. Le 17 avril 2016, le Mouvement du Sud organise une nouvelle manifestation à Aden[216]. Le 26 mars 2017, date du deuxième anniversaire du début des opérations de la coalition, les Houthis organisent une manifestation à Sanaa[320]. Le même mois, les rebelles Houthis prennent le contrôle de Damt, dans le gouvernorat de Dhale, ainsi que de la base de Dhoubab, de Taëz et de Madaribah, à Lahij[146]. Il est né d'un coup d'État contre la monarchie en place en 1962 qui a mené à une Soutien : Émirats arabes unis, Saleh Ali al-Sammad † La rébellion houthiste serait avant tout, à l'origine, un mouvement tribal et régional opposée au pouvoir central[54]. L'ambassadeur saoudien à Washington précise que « l'opération vise à défendre le gouvernement légitime du Yémen et à empêcher le mouvement radical Houthi (soutenu par l'Iran) de prendre le contrôle du pays »[125]. Le 20 mars 2015, un double attentat suicide visant des mosquées chiites à Sanaa, en représailles à l'avancée des Houthis, fait 142 morts[115]. Le 3 mars, de nouvelles frappes ont lieu dans la région d'Al-Saïd, dans la province de Chaboua, ayant pour objectif la maison de Saad Atef, un dirigeant local d'Aqpa[308]. AKM(S)/Type 56(-1) rifles and PK(M) pattern GPMGs seen as usual. En outre, un tir d'obus attribué aux rebelles Houthis à Marib, à l'est de Sanaa, cause la mort de cinq personnes et blesse quatre autres[306]. En février 2018, l'ONU dresse un bilan des pertes civiles, il dépasse les 10 000 morts depuis un an et demi. Trois jours plus tard, le Conseil de sécurité appelle à son rétablissement[169]. Territoire contrôlé par les djihadistes d'AQPA et de l'EI au Yémen. Le 11 février 2015, de nombreux pays évacuent leurs ambassades à Sanaa[83]. Le 7 mars 2015, la proclamation d'Aden comme capitale est confirmée par Hadi et annonce avoir fui Sanaa en passant par un tunnel situé dans sa résidence[110]. Le 5 mars 2021, le Conseil d'État a suspendu quatre licences d'exportation d'armes et d'équipements liés à la défense délivrés par la région wallonne à l'Arabie saoudite parce que les armes couvertes par les différentes licences d'exportation sont utilisées dans le contexte du conflit au Yémen ou qu'ils contribuent à la répression interne. Abdel Hafedh al-Sakkaf, ancien commandant des Forces spéciales, rejette son limogeage[110]. Les 23 et 24 janvier 2015, les Houthis dispersent des milliers de manifestants[75]. Le 22 septembre 2015, Hadi retourne à Aden[143]. Aussi, les Houthis annoncent la dissolution de Chambre des députés et le remplacement par un Conseil national de 551 membres, chargé de nommer les membres du Conseil présidentiel, qui à son tour nomme un nouveau gouvernement[80]. Our website is using cookies for 3rd party advertising, analytics, language and user settings. Hadi déclare que l'accord est « illégal »[92] et que les responsables vont « rendre des comptes »[92]. Ainsi, selon le site d'information Middle East Eye, si des troupes émiraties ont été déployées au Yémen et ont joué un rôle clé, une grande partie des combats aurait été sous-traitée à des alliés locaux, ce qui a permis de limiter leurs propres pertes[436]. En juin 2014, des heurts éclatent entre les forces gouvernementales et des sympathisants de l'ancien président Ali Abdallah Saleh près de la mosquée al-Saleh[53]. De plus, une contre-offensive des rebelles pour reprendre Yakhtul, une localité située 14 km de Mokha, fait 15 morts dont 7 soldats yéménites[316]. À l'été 2017, la fragile alliance conclue entre les Houthis et les partisans de l'ancien président yéménite, Ali Abdallah Saleh, commence à vaciller[357]. Selon The New York Times de mai 2018, des forces spéciales américaines seraient déployées à la frontière entre l'Arabie saoudite et le Yémen, pour protéger la frontière des Houthis et pour aider les forces saoudiennes à trouver leurs caches de missiles[374]. Pour leur part, les Houthis annoncent le début du cessez-le-feu pour le 14 décembre[148]. Le 11 décembre 2020, cinquante et un parlementaires français interpellent le ministre des Affaires étrangères. Résistance nationale Le 28 juillet, les Houthis et la faction pro-Saleh du Congrès général du peuple proclament un « Conseil suprême » de dix membres[238], sous la forme d'une présidence collégiale, composée d'un président et d'un vice-président, pour diriger le pays[239],[240]. If you have a shared mission, or have any questions, just send us an email to [email protected] or contact us on Twitter: @liveuamap, Saudi Civil Defense: The fall of a projectile of the Houthi militia in Jizan, resulting in several damages and no injuries, RSAF conducts 8 airstrikes on Iran-backed Houthi positions in Al-Bayda' Yemen, Arab coalition: Houthi militias continue to threaten maritime navigation and global trade, Arab Coalition: Houthi militias take the Stockholm Agreement as an umbrella to launch hostile attacks from Hodeidah, Arab Coalition: Thwarting an imminent hostile attack by a booby-trapped boat in the southern Red Sea, The UAE condemns the Houthi's attempt to target the Abha airport with an explosive drone, RSADF has just intercepted an explosive-laden UAV that was launched by Iran-backed Houthi militias from Yemen towards Abha aiport, Saudi Arabia, Arab coalition: The operation to intercept the explosive drone tried to target Abha airport resulted in the fall of shrapnel at the airport, The National Army: Shelling and raids on the Houthi militia sites in the Al-Jadafar front, east of Al-Jawf Governorate, Yemen's Information Minister: The Iranian government is undermining efforts to calm down the Houthis by supplying weapons, Houthi media: 30 coalition strikes on Al-Jawf and Marib areas, Yemen / KSA: Houthis (Houthis) carried an attack on pro-Saudi forces in Al-Gharbia, Najran. Le bilan de ces séries de raids aériens est de 22 morts du côté d'Al-Qaïda et de 2 civils tués[311]. Le 24 février 2016, le gouvernement yéménite déclare que le Hezbollah aurait déployé, au nord du Yémen, près de la frontière saoudienne, des troupes pour aider les rebelles[7]. Le 29 mai 2016, des heurts éclatent entre les deux camps, à Chabwa et font des dizaines de morts de chaque côté[228]. Depuis 2014, la guerre au Yémen a fait des dizaines de milliers de morts parmi les civils.

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